Quelques repères

Anny Pelouze, sur "Liminales", 2022

textes sur "Sentiences", 2021-2022

D. Bourcelot, C.Lenzi, sur "Aléatoires", 2021

Claude Haza, sur "Silences" et "Fluides", 2016

Roland Duclos, "d'Elle" Chamalières 2016

presse Chamalières 2016

Michel Gathier, sur Silences et Fluides, 2016

Marie-Noëlle Paschal, sur la rétrospective 2014

Gilbert Sauvan, préface, 2012

La Provence, sur "d'Elle", 2012

Gérard Engrand, sur "d'Elle", 2010

Chiara Palermo, sur "Silences", 2010

R-D Carmagnolle, sur "d'Elle", 2010

Anny Pelouze, sur "d'Elle", 2009

Anny Pelouze, sur "Episodes", 2007

Bruno Groensteen, Bô magazine, 2007

Michel Cazenave, sur "Empreintes", 2005

Anny Pelouze, sur "Lisières", 2002

Jacqueline Helleux, 2004

La Voix du Nord, 2002

Michel Random, sur "Lisières", 2001

Michèle Vilet, 1988

Jean Hoyoux, 1986

Anny Pelouze, "de ma peinture", 2012

 

sur la série "Lisières"

 

Sentir, penser, pressentir, rêver, pour m’approcher d’elles.

Tracer dans la matière ces lisières où Visible et Invisible font alliance, dans la forge et dans la brise…

Occasion donnée, ouverte à l’envie de projeter dans une peinture son propre imaginaire.

Flâner, bondir, vagabonder sur un chemin où la suggestion fait lien avec des mondes de rêves se superposant sans jamais s’exclure.

Lisières, frontières et passages découverts avec confiance ou avec crainte, franchis ou remis à plus tard, peut-être…

Alternances de rencontres puissantes ou subtiles, de confrontations tumultueuses ou d’évidentes complicités.

Voir pour entendre et toucher ces alliances et ces chocs, par d’autres sens mis en écho. Formes irréelles pour des sensations réelles… à moins que ce ne soit l’inverse.

Aller au bout d’une histoire qui gardera néanmoins sa part de mystère puisqu’elle ouvre, inlassablement, sur d’autres histoires d’un devenir inépuisable.

Champs de forces, descentes et remontées. Monter, descendre et remonter les paliers d’une vie, futur et passé parfois confondus au cœur d’un présent si présent, si prégnant. Incarnation passagère donnant cet illusoire besoin de fixer, de tracer.

 

Anny Pelouze, 2002